Il était une fois....

Voila il s'agit d'une idée d'un sujet explicite flood dans lequel on raconte une histoire. Les règle du jeu sont simple poster pour continuer l'histoire commencer. L'hisoire doit commencer par il était une fois et se termine s'il n'y a pas eu de nouveau post 3 jours après le dernier [les règles de fin étant suceptible de changer]. Chaque poste doit comporter un minimum de 5 phrase qui aien un sens cohérent. Et chaque posteur finira son poste par un mots détaché su texte qui devra être utilisé par le prochainposteur dans la suite de l'histoire. Je déclare le jeu ouvert.

Il était un fois un royaume sylvestre peuplé d'elfe des bois. Le maitre de ces bois était un puissant sorcier du nom de Melfior, on disait qu'il pouvait transformé la terre en eau et la pierre en arbre. Un matin Melfior reçutun messager bien étrange en son palais. N'ayant pas de temps a lui accorder il l'invita a prendre du repos en sa demeure en lui disant qu'ils pourraient parler affaire au banquet du soir. Le messager fort mécontent sortie en claquant la porte et partie sur l'heure.

Mot à suivre: Ultimatum

S'il était mécontent de son sort alors qu'il logeait dans l'une des plus belles demeures existante, c'est parcequ'il n'avait que faire du bon vouloir de ce stupide Elf. Barlin le nain, fils du roi Brini avait été envoyé par son père afin de transmettre un message de la plus haute importance; en effet, ce dernier en avait plus qu'assez d'attendre que le roi elfe lui livre trois de ses corsaires qui n'avait pas hésités à raser la barbe de sa magnifique épouse qui se promenait tranquilement dans la plaine d'Ayentkok, la défigurant gravement et la rendant fort dépressive. Barlin apportait donc l'ultimatum qui devrait décidé de la vengeance de sa mère.

Mot à suivre: colère

Cependant le mage elfe qui avait de très grand pouvoir utilisa son tsarnum une pierre magique pour penetrer l'esprit faible de se nain et deviner la raison de sa venue. Lorsque que melfior compris les intentions du nain cela le mit en colere et son unique souhait fut d'envoyer son plus fidele garde son tres cher zoralbeque , un elf-demi ork pour regler l'affaire. Fesant preuve toute son ingeniosité et de tous sa rapidité elfique zoralbeque rattrapa le nain l'assoma aisement d'un coup de gourdin et entreprie l'humiliation.Il rasa entierement le pauvre nain assoupis ne laissant que les inscription "va te faire foutre" inscrite en poils dans le dos du nains. Il deposa ensuite le nain dans un abreuvoire en face d'un taverne et retourna voir son maitre.

mot a suivre:toupie

( ça fait trois jours plus un mois mais je continue...)

Barton le nain a la barbe bleu buvait un coup peinard dans une taverne. Il était atablé avec deux nouveaux amis qu'ils venait de se faire, un humain traitant avec les rois nains quant à l'exploitation des minerais et un chef gardien d'un camp d'esclaves, humain lui aussi, qui dirigeait une carrière de pierre bleue brillante. Il faisait assez beau, lorsque les trois comparses entendirent un "Plouf" retentissant venant de l'exterieur. Tous trois sortir, non pas qu'ils avaient l'intentions d'aller voir l'origine du bruit, mais la conversation avait tourné autour d'un fameux lupanar, et ils comptaient bien s'y rendre.
Cependant, en sortant, Barton devint rouge en voyant ce qui avait provoqué le "Plouf" de tout à l'heure. Un nain rasé était évanoui dans l'abeuvoir et sur son dos était écrit en poil " Va te faire foutre".
Les trois compagnons le réveillerent et ayant appris ce qu'il c'était passé, les deux humains s'en allèrent au bordel. Pourtant, Barton pris le malheur de ce nain comme une insulte personel, et lui tint a peu près ce language:

"Ami, je te vengerais, je suis Barton, jai le pouvoir de changer l'eau en terre et le bois en pierre! Je retrouverais ton agresseur et lui fera subir le suplice de la toupie que j'ai déjà fait subir maintes fois à des orcs errants pour m'entrainer. Voila enfin l'occasion de le testé pour de bon. Tiens, prends ça, dit il en lui donnant deux pièce d'or, et attends moi au bordel!"

mot à suivre: rascal.

Puis il partit dans la direction totalement opposé de celle de Zoralbeque abandonnant le pauvre nain Barlin entrain de se noyer dans son abreuvoir.
Alors que Barton marchait d'un pas décidé dans la capitale, il croisa un étrange spectacle: devant lui, une jeune fille très mignonne, bien qu'elle atteignait facilement un grand mètre soixante et qu'elle manquait de poils, se battait contre 3 aggresseurs fort étranges : des sortes de gnomes unijambistes portant des vêtements fait en jambons. Il s'arrêta quelques instants pour les regarder, essaya de voir sous la jupe déchiré de la jeune fille, pensa à ses amis qui s'amusait au bordel...puis repartit d'un bon pas en direction du sud (qui était en fait le nord mais il l'ignorait totalement), toujours à la recherche de son ennemi juré (car les nains ont la rancune tenace).

Au bout de 2h, il se dit qu'il avait grand faim et qu'il n'avait pas mangé de poisson depuis longtemps. Par une chance folle, il se trouvait dans le quartier du port alors qu'il était sensé se situer dans la direction totalement opposé. Il entra donc le premier restaurant à poissons qu'il trouva (c'était pas dur, dans ce quartier il n'y a que ça et des bateaux) répondant au doux noms de "Chez Pas-Frais" et lança un:
"Ola aubergiste, est ce que tu as de la rascale dans ton restaurant".
Alors que la moitié des personnes attablés aux tables du fond se retournaient d'un air méchant (l'autre moitié était déja tourné dans sa direction et n'avait pas non plus l'air d'innocentes jeunes bergères), le tenancier du lieu lui répondit:
"Tu veux dire de la rascasse?"
"Ouai c'est ça, désolé je mélange tout le temps, ça et les boulets..."
"Bah ouuué, j'ai ça. Martiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiine, prépare une rascasse pour le monsieur. Si vous voulez vous donner la peine de vous assoir à cette table mon prince..."

Quelques minutes après, un gigantesque troll répondant au doux nom de Martine lui apportait sa rascasse.

Mot à suivre : bourse